Cette nouvelle rubrique « FICHE SYNTHETIQUE » se propose d’aider à comprendre en un clin d’œil les informations clés de chaque numéro de NETSOURCES. La datavisualisation faisant l’objet d’un numéro double, vous trouverez ici un rappel du précédent numéro. Cette rubrique sera également déclinée en version pédagogique « pas à pas » et commentée dans nos fiches pédagogiques « Les essentiels de la veille». Bonne lecture !
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Les métiers des professionnels de l’information, - documentation, veille, KM et autres fonctions liées à la gestion de l’information, - ont toujours été en prise directe avec les évolutions du numérique.
Il nous semble que ces évolutions impactent nos métiers de deux façons différentes.
La première est une déstabilisation forte, sous l’effet par exemple de l’arrivée d’Internet hier ou de l’IA aujourd’hui qui « concurrencent » et remettent en cause l’existence même du professionnel.
La seconde agit plutôt comme un moteur de transformation. Elle a pour effet d’élargir les compétences du spécialiste car elle le pousse à intégrer les nouveautés technologiques dans son offre de service et à monter en compétence. On l’a vu par exemple avec les systèmes de GED, et cela nous paraît être aussi le cas de la data.
Depuis une dizaine d’années la data « interroge » les différents profils de spécialistes. Elle pose la question de leur ouverture au monde des données quantitatives, et non plus seulement qualitatives.
L’irruption d’un monde de chiffres bouscule le savoir-faire établi du spécialiste de l’information textuelle, formé aux traitements de nature documentaire sur de gros corpus de textes. En cela elle brouille la représentation des métiers du document et des compétences qui leur sont rattachées. Et il n’est pas si simple d’identifier les techniques d’exploitation et d’analyse de ce nouveau champ numérique.
Si les référentiels de compétences sont nombreux pour les data scientists et autres data managers, nous n’en avons pas vu de convaincants pour les nouvelles compétences des professionnels de l’information. Étrangement, on voit des référentiels ou offres d’emploi de profils « purement data » intégrer des compétences de veille mais l’inverse est loin d’être vrai.
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Dans le monde de la veille, on peut aisément s’imaginer que la dataviz a surtout un rôle à jouer au niveau de l’analyse et des livrables.
Elle a en réalité un rôle à jouer à tous les niveaux.
Dans cet article, nous analysons précisément la place de la représentation visuelle à toutes les étapes de la veille (de la définition des besoins jusqu’à la diffusion), d’abord sous l’angle du type de représentation puis avec le prisme des outils des dataviz.
Quand on souhaite mettre en place une veille, il faut commencer par définir précisément les besoins en allant interroger les personnes concernées par la veille comme les futurs destinataires notamment : pour qui, pourquoi, que veut-on apprendre et découvrir, que sait-on déjà, etc.
Enrichir ses livrables de veille grâce à la datavisualisation (Bases N° 380 - avril 2020)
Comment identifier des infographies ? (Bases N° 345 - fev 2017)
À ce stade, la datavisualisation peut tout à fait trouver sa place comme représentation mentale de la pensée.
On est ici dans le cas d’une datavisualisation qui :
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La datavisualisation (souvent appelée dataviz) est une représentation graphique permettant de synthétiser des données quantitatives surtout mais aussi qualitatives.
Dans son ouvrage « Rechercher l’information stratégique sur le Web », Véronique Mesguich propose une vision intéressante de ce que la datavisualisation apporte aux professionnels de l’information.
À travers notamment la retranscription d’un échange avec Serge Courrier, l’ouvrage met en avant que dans le monde de la veille et de la recherche d’information, la datavisualisation distingue deux grands usages :
• Représenter graphiquement des informations que l’on connaît déjà pour les rendre plus intelligibles et compréhensibles avec un gain de temps pour celui qui la reçoit (c’est le cas par exemple des livrables de veille à fort contenu graphique - comme les tableaux et diagrammes que l’on peut voir régulièrement). On travaille ici plutôt sur un faible volume de données.
• Faire émerger des informations, relations, concepts, signaux, etc. que l’on ne connaissait pas à partir d’un gros volume de données ; c’est le cas des outils de recherche et de veille qui offrent des solutions d’analyse intégrées à leurs outils.
Véronique Mesguich indique que la datavisualisation au sens strict du terme correspond en réalité uniquement à ce deuxième usage, mais que dans le langage courant, le mot est souvent utilisé pour désigner toute forme de représentation de données.
Lire aussi :
Enrichir ses livrables de veille grâce à la datavisualisation, (Bases N° 380 - avril 2020)
Comment identifier des infographies ?, (Bases N° 345 - fev 2017)
Dans cet article, nous avons donc choisi de parler de datavisualisation au sens large, car ce sont bien toutes les formes de représentations de données qui ont leur place dans les processus de veille.
Nous nous intéresserons aux données, quelles qu’elles soient, qu’il s’agisse de représenter des données que l’on connaît déjà ou de faire émerger des données que l’on ne connaît pas, de traiter de gros volumes de données ou des volumes moindres gérables manuellement, de travailler sur des représentations de données textuelles ou chiffrées - souvent appelées informations qualitatives et quantitatives.
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Depuis quelques années, les plateformes de veille intègrent de plus en plus de fonctionnalités de dataviz.
Dans la grande majorité des cas, les outils de veille intègrent la représentation visuelle au niveau de l’analyse des résultats de veille. Ils aident l’internaute à se repérer dans un vaste volume d’informations, à détecter plus rapidement et facilement des informations importantes qu’il ne connaît pas encore et à exporter ces visualisations pour les intégrer à des livrables.
Mais si tous les outils de veille parlent de dataviz ou de fonctionnalités analytiques, ce qui se cache derrière ce terme « vendeur » varie en réalité d’un outil à l’autre.
Tous proposent aujourd’hui des dashboards personnalisables avec différentes représentations visuelles. Certains ont choisi de continuer à développer leurs propres solutions de datavisualisation en interne là où d’autres ont préféré choisir des connecteurs avec des outils dédiés à la datavisualisation comme les outils de BI (Business Intelligence) dès qu’il s’agit d’aller plus loin. Ce qui va varier également, c’est le degré de personnalisation de ces datavisualisations, les corpus qui servent à la réalisation de ces visualisations ou encore l’existence ou non de graphes relationnels permettant de voir des liens entre les données.
Outils de veille freemiums : se repérer dans le paysage des lecteurs de flux RSS (Netsources N° 160 - nov 2022)
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Les nouvelles fonctionnalités des plateformes de veille en 2021 (Juin 2021)
Le marché des plateformes de veille se consolide (Bases N° 390 - mars 2021)
Le marché des outils et plateformes de veille en France en 2020 (Netsources N° 147 - août 2020)
Quand on dispose déjà d’un outil de veille, il est intéressant de regarder en profondeur ce qu’il propose en matière de datavisualisation, car ce n’est pas toujours si intuitif, ni toujours très bien mis en valeur.
Si on est à la recherche d’une plateforme de veille, il va falloir déterminer en amont quelle place donner à la datavisualisation dans son processus de veille et ensuite examiner ce que chaque outil propose en la matière. Les sites Web des différents acteurs ou les brochures mettent finalement plutôt mal en valeur cette dimension dataviz et on ne peut comprendre les différentes fonctionnalités qu’en discutant avec les différents acteurs.
Attention à regarder précisément sur quel corpus il est possible de réaliser les visualisations : le Graal, s’il existe, étant de pouvoir y inclure des données de sources diverses (presse, réseaux sociaux, sites Web, brevets, informations scientifiques, informations issues de bases de données professionnelles, etc.). Si les données entrantes sont biaisées ou très incomplètes, l’analyse qui sera faite derrière sera nécessairement biaisée et incomplète (la fameuse théorie du Garbage in Garbage out).
Dans cet article, nous faisons donc un tour d’horizon de ce que proposent les outils classiques du veilleur en matière de représentation visuelle des données. Comment cela vient-il s’interfacer dans le processus de veille, quels sont les avantages de ses fonctionnalités, leurs limites et dans quels cas faut-il plutôt se tourner vers des outils dédiés à la datavisualisation.
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Quand la datavisualisation n’est pas incluse ou pas suffisamment aboutie dans les outils de recherche ou de veille que l’on utilise au quotidien, il n’y a pas d’autre choix que de se tourner vers des outils dédiés à la représentation visuelle de données.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on se retrouve vite confronté à un marché extrêmement vaste et surtout très disparate dans lequel il est très difficile de se repérer et de trouver l’outil adapté à ses besoins particuliers.
Il est en effet impossible de mettre sur le même plan un outil qui permet de réaliser des infographies manuellement, des graphes relationnels, un outil de data storytelling, un tableur qui permet de réaliser des graphes ou un outil de Business Intelligence.
Enrichir ses livrables de veille grâce à la datavisualisation (Bases N° 380 - avril 2020)
Comment identifier des infographies ? (Bases N° 345 - fev 2017)
Ces outils n’ont tout simplement rien en commun si ce n’est leur côté visuel. Ils ne répondent pas aux mêmes besoins ni aux mêmes problématiques. Et pourtant, nombreux sont les articles sur le Web du type « les X meilleurs outils de dataviz » qui mêlent sans distinction et sans réflexion tous ces outils.
Le but de cet article n’est donc pas de tester tout ou partie des outils de représentation des données, pas plus que de juger la valeur sur ces outils. Le but est ici de donner les clés pour se repérer dans cet univers très vaste et réussir à se diriger vers le ou les types d’outils correspondant à ses besoins en matière de veille.
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Le marché des outils de veille est un univers vaste qui regroupe aussi bien les grosses plateformes de veille et de social media monitoring que des outils moins onéreux comme les outils de surveillance de pages et les lecteurs de flux RSS.
Après avoir exploré en détails le marché des plateformes de veille en 2020 puis celui des outils de surveillance de pages en 2021, il est temps maintenant de se tourner vers les incontournables lecteurs/agrégateurs de flux RSS qui réussissent à allier fonctionnalités puissantes pour la veille (et même la recherche d’information !) et tarifs abordables.
Appréhender les lecteurs RSS pour la veille ne peut se faire sans une connaissance préalable du RSS et des flux RSS dans leur ensemble et de leur place dans les processus de veille. C’est justement le thème que nous avions abordé dans le précédent numéro de NETSOURCES en nous focalisant sur les flux RSS comme moyen de surveiller n’importe quelle source présente sur le Web. Nous avions notamment vu comment récupérer un flux RSS sur la majorité des sites Web, les réseaux sociaux, les newsletters ou encore les moteurs Web et Google Actualités.
Dans ce nouveau numéro, il est maintenant temps de s’intéresser aux étapes suivantes et tout particulièrement au choix crucial d’un lecteur/agrégateur de flux RSS pour réaliser sa veille.
Lire aussi :
Comment choisir la méthode la plus adaptée pour mettre une source en veille à partir d'un flux RSS
Comment se repérer dans le paysage des outils de veille gratuits et bon marché ?
Les outils de surveillance de pages gratuits et freemiums au banc d’essai
Le marché des outils et plateformes de veille en France en 2020
Le choix de l’outil n’est pas nécessairement chose aisée, car les acteurs sont nombreux et les fonctionnalités offertes très différentes d’un acteur à l’autre. Il est loin le temps où la quasi-totalité des lecteurs de flux RSS était gratuite et proposait des fonctionnalités basiques et très similaires.
Le marché que nous avons aujourd’hui sous les yeux est beaucoup plus complexe et disparate.
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Si Feedly et Inoreader sont aujourd’hui les deux lecteurs RSS les plus plébiscités pour la veille (non sans raison), ils ne conviennent pas nécessairement à tout le monde : soit en raison du prix qui ne cesse d’augmenter avec les années, soit en termes d’hébergement et de sécurité des données (certaines entreprises n’autorisent pas l’utilisation de certains outils hébergés en ligne), soit en termes de fonctionnalités (ils en ont beaucoup pour la veille, mais ne peuvent couvrir l’ensemble des besoins).
Pour cet article, nous avons sélectionné 6 agrégateurs de flux RSS parmi tous ceux sur le marché qui sont sur le papier les plus prometteurs et intéressants pour toute personne faisant de la veille : Feedbro, Fresh RSS, New Sloth, Feedbin, Newsblur et Feeder.
Nous les avons testés, avons évalué leur potentiel pour le veilleur et avons analysé leurs particularités et leur valeur ajoutée par rapport aux autres outils du marché et notamment Feedly et Inoreader.
Lire aussi :
Maîtriser le RSS, le socle inamovible de la veille
Comment choisir la méthode la plus adaptée pour mettre une source en veille à partir d'un flux RSS
Comment récupérer un flux RSS sur la majorité des sites web ?
Comment récupérer des flux RSS sur les réseaux sociaux ?
Comment transformer une newsletter en flux RSS ?
Comment récupérer un flux RSS sur les moteurs web et Google Actualités ?
Feebro fait partie de cette génération d’outils apparus après la disparition de Google Reader en 2013.
Sa particularité par rapport aux autres outils, c’est qu’il se présente sous la forme d’une extension de navigateur (Chrome, Vivaldi, Brave, Firefox et Edge) et qu’il est complètement gratuit. Et alors que les outils fonctionnant sous la forme d’une extension de navigateur sont en général très simplistes, celui-ci a le mérite de proposer des fonctionnalités plutôt évoluées.
Au niveau ergonomique, on est assez loin des belles interfaces proposées par certains lecteurs RSS. On reste ici avec une interface un peu datée, mais là n’est pas son point fort.
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Conçu il y a 10 ans, Inoreader, est l’un des rares agrégateurs qui permet d’aller le plus loin avec les flux RSS et réellement faire de la veille.
Ses utilisateurs connaissent déjà les fonctionnalités qui ont assuré son succès, comme les « règles », pour automatiser le filtrage par mots-clés, le classement par « tags » ou « à lire plus tard », mais aussi la recherche et la surveillance facilitée de Google Actualités dans 25 langues, la « tasse à café » pour lire un article gratuit dans son intégralité ou encore la suppression des doublons. C’est l’une des raisons pour lesquelles il est l’outil privilégié des professionnels de l’information qui souhaitent maitriser leurs flux.
Sa tarification est une autre raison. Depuis sa création, Inoreader ne cesse de proposer de nouvelles fonctionnalités très utiles pour la veille, ce qui le hisse peu à peu en véritable concurrent frontal de certaines plateformes de veille... pour un budget beaucoup plus réduit. Si l’abonnement Pro est accessible à moins de 9 euros par mois, il faut cependant savoir que ses fonctionnalités les plus évoluées sont limitées en nombre. Il est toujours possible d’en acheter davantage pour compléter son dispositif, ce qui augmente le prix de l’abonnement, qui reste malgré tout bien en-deçà des propositions alternatives sur le marché
Inoreader est aujourd’hui doté d’au moins quatre avantages concurrentiels: la création de flux RSS, l’écoute de sa veille sous forme de playlist, son « moteur de recherche personnalisé » et sa newsletter automatique.
Lire aussi :
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Comment choisir la méthode la plus adaptée pour mettre une source en veille à partir d'un flux RSS
Comment récupérer un flux RSS sur la majorité des sites web ?
Comment récupérer des flux RSS sur les réseaux sociaux ?
Comment transformer une newsletter en flux RSS ?
Comment récupérer un flux RSS sur les moteurs web et Google Actualités ?
Pour cet article, nous avons sélectionné 12 fonctionnalités que nous trouvons particulièrement intéressantes et utiles pour la veille et qui ne sont pas toujours pleinement exploitées par les utilisateurs d’Inoreader. Les fonctionnalités retenues sont disponibles avec l’abonnement Pro.
C’est LA fonctionnalité qui fait la différence. Au-delà de l’ajout d’un flux RSS existant, Inoreader est l’un des seuls à proposer cette fonctionnalité pourtant au cœur de l’information en ligne.
Depuis 2020, il est donc possible de créer des flux RSS à partir de l’URL d’une page web sans passer par un autre outil. Cette pratique est incontournable pour ceux qui souhaitent n’avoir le flux que d’une rubrique, ou même créer « leur rubrique personnelle » en créant le flux de la page de résultats d’une recherche sur un site en ligne.
Sur la majorité des autres agrégateurs, il est certes possible de « filtrer » les flux RSS, mais plus un flux est « retravaillé », et moins son code est « propre », ce qui diminue potentiellement sa fiabilité, et donc sa qualité.
Jusqu’ici la fonctionnalité « Détection automatique » n’était pas toujours très heureuse. Mais depuis le mois dernier, la « détection manuelle » s’est grandement améliorée avec l’ajout de l’option « Activer Javascript ». Elle permet même de créer, par exemple, le flux d’une page de nouveautés d’une librairie.
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Quand on réalise une veille pour soi-même (dans le cas d’une veille métier par exemple), des veilles qui ne nécessitent pas des milliers de sources, qui génèrent un volume d’information raisonnable ou qu’on dispose d’un budget limité, les lecteurs de flux RSS sont toujours aujourd’hui des outils incontournables.
Mais il n’est pas toujours simple de choisir parmi tous les lecteurs/agrégateurs les plus adaptés pour la veille, car il y a de nombreux critères à prendre en compte.
C’est ce que nous explorons dans cet article.
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Comment récupérer un flux RSS sur les moteurs web et Google Actualités ?
Choisir un lecteur RSS, c’est d’abord prendre le temps de la réflexion et se demander de quelles fonctionnalités et contenus on a besoin et les classer avec différents niveaux d’importance.
Il y a les fonctionnalités et contenus indispensables, celles qui sont utiles, mais pas vitales ou que l’on peut retrouver ailleurs et celles qui ne nous sont d’aucune utilité.
Idéalement, on disposera déjà d’un premier sourcing, c’est-à-dire d’une première liste de sources que l’on souhaite mettre sous surveillance, car cela aura un impact sur l’outil que l’on va choisir.
On n’oubliera pas d’ailleurs que le choix de l’outil n’intervient pas au début d’un projet de veille. La définition du sujet, le sourcing et le plan de veille passent avant.
Un des critères principaux est bien évidemment le prix, surtout quand on ne dispose pas ou de peu de budget.
Il faut bien avoir conscience que la majorité des lecteurs fonctionnent aujourd’hui sur un modèle freemium avec des fonctionnalités gratuites qui se réduisent drastiquement avec les années voire disparaissent pour ne laisser la place qu’à un outil payant.
Un outil gratuit aujourd’hui a toutes les chances de devenir payant dans les années à venir ou de disparaître.
Seuls les lecteurs issus du monde des logiciels libres (donc open source) garantissent la gratuité sur le long terme.
Pour des personnes ne disposant d’aucun budget, la stratégie la plus sûre est donc de se tourner vers des lecteurs RSS open source en privilégiant ceux qui existent déjà depuis un certain nombre d’années (comme Fresh RSS par exemple qui vient de fêter ses dix ans).
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