En principe, les ouvrages numérisés par Google qui ne sont plus soumis au droit d’auteur sont disponibles en texte intégral sur la plateforme. Que faire si ce n'est pas le cas?
- Si oui, cliquez sur « Signaler un problème » en bas de la page, vers le support de Google Books.
En général, leur équipe reviendra vers vous rapidement après avoir mis en ligne le texte intégral de l’ouvrage sur la plateforme.
Source : https://bit.ly/3x76jXl
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Difficile de s'y retrouver quand on ouvre beaucoup d'onglets lors des veilles ou recherches.
Google vient d’intégrer dans son navigateur une fonctionnalité qui recherche à la fois sur les titres des pages web ouvertes et le nom de domaine :
Rendez-vous à l'adresse : chrome://flags/ Recherchez 'Tab Search' et cliquez sur 'Enable'
Sauvegardez, relancez l’application et découvrez la fameuse petite flèche en haut à droite qui vous fera gagner du temps !
Mode d'emploi : https://bit.ly/3sc5DMP
Ce n’est pas tant l’image que le son qui intéresse le veilleur dans une vidéo. Mais la transcription textuelle d’une vidéo reste souvent compliquée à obtenir.
Connaissez-vous Savesubs, un outil gratuit qui permet de récupérer en un clic au format texte les sous-titres de vidéos Youtube, Dailymotion, Viméo, Facebook, Twitter, etc ?
Il suffit d’entrer l’url de la vidéo et le tour est joué !
Last but not least ! Il permet aussi de télécharger la vidéo et de traduire automatiquement les sous-titres avec Google Translate.
Source : @technisette
Lire aussi : Outils de recherche de vidéos : des métadonnées au speech to text
Faire de la veille dans des langues que l’on ne maîtrise pas ou peu est de plus en plus souvent une nécessité.
Connaissez-vous Deepl, un outil de traduction qui est souvent bien meilleur que Google Translate ?
Deepl vient d’ajouter 13 nouvelles langues : le bulgare, le tchèque, le danois, l’estonien, le finlandais, le grec, le hongrois, le letton, le lituanien, le roumain, le slovaque, le slovène et le suédois.
N’hésitez plus à intégrer Deepl à votre démarche de veille !
A Lire aussi : Comment identifier des sources d’information locales ?
Qui ne connait pas Espacenet. Lors de son lancement en 1998 par l’OEB, ce service mettant gratuitement à disposition de tous l’information brevet via une interface web très intuitive a été vécu comme une révolution par les habitués des langages d’interrogation des Questel et autre STN.
Espacenet a incontestablement représenté une sorte de démocratisation de l’accès au contenu des brevets. Pour ceux dont le métier consiste à sensibiliser les PME à la propriété industrielle, Espacenet a aussi constitué, par son côté ludique pour l’« homme de la technique », un excellent moyen d’attirer vers cette matière ardue un public qui y est souvent rétif.
23 ans après ses débuts, et malgré le développement de nombreux outils équivalents, Espacenet reste une référence parmi les produits en accès libre.
Le lancement en octobre 2019 d’une nouvelle version constitue un tournant important dans l’histoire de ce service.
Présentation de l'auteur : Philippe Borne est depuis plus de 30 ans engagé dans les métiers de la propriété industrielle au sein de l’INPI. Il y a commencé ses activités en relation avec le projet Pharmsearch/MMS (Merged Markush Service) , une base de données couvrant les brevets des domaines de la chimie et de la pharmacie résultat d’un projet mené conjointement par Questel, Derwent en l’INPI. Il a, à ce titre, été en contact avec de nombreux professionnels et utilisateurs de l’information brevet avec lesquels il reste en lien, notamment en tant que membre du CFIB (Club Francophone d’Information Brevet).
A quelques semaines d’intervalles, plusieurs annonces viennent changer le paysage des plateformes de veille en France tel que nous le connaissons aujourd’hui.
La première est le rachat de la plateforme de social media monitoring Brandwatch par Cision et la seconde la vente de Linkfluence (éditeur de Radarly) à Meltwater.
Lire aussi :
Brandwatch : une plateforme de veille qui allie puissance et flexibilité
NETSOURCES (n°147 - juillet/août 2020)
L’opérateur
site:
sur Google est bien connu des professionnels de l’information et permet de rechercher uniquement sur un ou plusieurs sites web bien précis, ce qui en fait une fonctionnalité très précieuse.
La requête veille site:https://www.bases-netsources.com/
par exemple recherchera le terme veille sur les pages du site bases-netsources.com indexées par Google.
Google permet également la création de moteurs personnalisés appelés « Google CSE », pour Custom Search Engine (https://cse.google.com). L’utilisateur peut créer un moteur en entrant les sources qu’il souhaite interroger et peut ensuite créer des requêtes comme sur le moteur classique de Google.
Dans les deux cas, l’internaute recherche donc sur une sélection de sources et non sur l’intégralité du web.
Que l’on utilise l’opérateur site:
ou un moteur CSE avec les mêmes sources, les résultats devraient donc être sensiblement les mêmes. Sauf qu’il n’en est rien…
Dans le précédent billet, nous avions pu voir que Twitter essayait de plus en plus de monétiser ses fonctionnalités et services, ce qui pourrait à moyen terme avoir un retentissement sur les pratiques de veille.
Mais ce n’est pas tout...
Twitter va intégrer également de nouvelles fonctionnalités et services, gratuits cette fois-ci, qui ne sont pas sans rappeler ce qui se fait et ce qui fonctionne actuellement sur d’autres réseaux sociaux :
Les newsletters redeviennent populaires. Substack est la plateforme leader du marché aujourd’hui. Mais s’abonner à des newsletters est souvent synonyme de surcharge dans sa boite mail !
Substack a lancé son lecteur de flux RSS dédié aux newsletters : Substack Reader. Et il est aussi possible de récupérer un flux RSS pour chaque newsletter en rajoutant simplement /feed
à l’url en question. Ex : https://esjpro.substack.com/feed
Source : https://twitter.com/mollyfmielke
A lire aussi : Substack ou le symbole du retour en force des newsletters pour la veille