Google vient d’annoncer une nouvelle fonctionnalité, qui à en croire une des personnes en charge du projet aurait pour vocation à devenir « incroyable » (« awesome »).
Comme d’habitude, le « storytelling » est bien rodé avec une première annonce au mois de mai dernier pour annoncer qu’une nouvelle fonctionnalité est en test. L’information est reprise immédiatement par la presse et les sites d’actualités Tech du monde entier.
Et il y a quelques jours, même schéma, on apprenait cette fois-ci qu’elle était désormais disponible sur Android. Il en sera de même dans quelques mois quand la fonctionnalité arrivera sur IOS et desktop…
Google est décidément très fort dans l’art de créer des effets d’annonces. On serait presque tenté de s’acheter un téléphone Android rien que pour avoir accès à cette incroyable fonctionnalité...
Mais au fait, de quoi s’agit-il exactement ?
Il y a quelques années, les kiosques numériques comme Cafeyn, E-presse ou encore Pressmium s’annonçaient comme l’avenir de la presse française et se voyaient déjà comme les Netflix ou Spotify de l’information.
Avec un tarif très abordable et la possibilité d’accéder en un seul et même endroit à de très nombreux titres de presse française et internationale, ils avaient, sur le papier, tout pour séduire les personnes à la recherche d’articles de presse ou souhaitant mettre en place une veille d’actualités. Sur le papier seulement…
Aujourd’hui, force est de constater qu’on est très loin du compte et que le soufflé semble retomber. Les kiosques numériques sont-ils en perte de vitesse ? Quelles solutions existe-t-il aujourd’hui pour rechercher des articles de presse et mettre en place une veille « médias » ?
Il y a quelques années, les kiosques numériques comme Cafeyn, E-presse ou encore Pressmium s’annonçaient comme l’avenir de la presse française et se voyaient déjà comme les Netflix ou Spotify de l’information.
Avec un tarif très abordable et la possibilité d’accéder en un seul et même endroit à de très nombreux titres de presse française et internationale, ils avaient, sur le papier, tout pour séduire les personnes à la recherche d’articles de presse ou souhaitant mettre en place une veille d’actualités. Sur le papier seulement…
Aujourd’hui, force est de constater qu’on est très loin du compte et que le soufflé semble retomber. Les kiosques numériques sont-ils en perte de vitesse ? Quelles solutions existe-t-il aujourd’hui pour rechercher des articles de presse et mettre en place une veille « médias » ?
La publicité ne fait pas naturellement partie du spectre de la recherche d’information et de la veille. Et pourtant, il est souvent intéressant de repérer, suivre et analyser les publicités de certains acteurs et notamment ses concurrents. Aujourd’hui, ce sont Google et Facebook qui monopolisent le marché de la publicité en ligne et c’est donc dans ces deux directions qu’on a intérêt à porter son regard pour faire de la veille publicitaire.
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Google vient d’annoncer sur son blog qu’il allait déployer dans les prochains mois aux Etats-Unis d’abord puis dans le reste du monde en 2022 des « pages annonceurs » permettant notamment visualiser l’historique des campagnes d’un annonceur sur les 30 derniers jours (publicités vidéos sur YouTube, adwords, annonces Shopping, etc.).
LinkedIn a enrichi son onglet 'Statistique' pour inclure une nouvelle fonctionnalité qui permet d'évaluer la performance de ses concurrents sur LinkedIn et ainsi de la comparer avec ses propres résultats.
Uniquement disponible pour les pages entreprises, découvrez cette nouvelle fonctionnalité 'Concurrents' qui vous permet de renseigner jusqu'à 9 sociétés concurrentes. Après ce paramétrage très court et complètement modulable à tout moment, vous obtiendrez votre dashboard personnalisé avec 2 classements correspondant à une période paramétrable :
- Classement selon le nombre d'abonnés total et le nombre de nouveaux abonnés.
- Classement selon le nombre d'interactions par rapport au nombre de publications organiques crées.
Source : Le blog du Modérateur
IA, deep learning, recherche sémantique, classification automatique : ces termes sont de plus en plus fréquents dans le monde des bases de données brevets.
Vont-ils renvoyer les tenants de la recherche traditionnelle au rayon des archives du monde des professionnels de l’information brevet ? Les codes CIB, CPC, les mots-clés représenteront-ils bientôt des techniques démodées à remiser au placard ? Qui sont ces nouveaux outils et condamnent-ils réellement des techniques éprouvées depuis plusieurs dizaines d’années, ou au contraire ne font-ils que les complémenter ? Enfin, quel est leur niveau de performance et comment les utilise-t-on ?
Les informations ici présentées résultent également d’un échange avec les équipes d’IPRally.
Depuis plus d’un an, on voit apparaître de plus en plus de liens vers des veilles gratuites sur LinkedIn. Il ne s'agit pas ici de news partagées régulièrement par des experts sur un secteur ou un pays, mais des veilles thématiques ou sectorielles produites et diffusées par des entreprises ou consultants qui ne sont pas spécialisés dans le domaine de la veille.
Derrière l’effort de contribution à la plateforme de partage social qu'est LinkedIn, on peut supposer qu’il s’agit dans la plupart des cas d’une stratégie de référencement dans un cadre commercial ou d’une simple recherche de notoriété.
L’utilisation de la veille comme outil de marketing serait finalement une nouvelle forme de publicité sophistiquée, qui aurait a priori de bonnes chances de toucher une cible professionnelle structurellement qualifiée, comme celle « offerte » par LinkedIn.
La cible client serait plus aisée à atteindre, à la fois grâce à la nature du canal de communication et à un contenu potentiellement plus riche qu’un post sur un blog ou une newsletter d’actualités.
Le veilleur professionnel pourra dans un premier temps qualifier ces veilles gratuites de « pseudo prestations » et s’alarmer de ce nouveau pas vers la « commoditisation »(1) du secteur de l’information, avec une dilution de valeur du service expert que représente une prestation de veille, qui suppose rigueur et technicité.
Depuis quelques années déjà, Google ne permet plus de rechercher sur les versions locales de son navigateur. Que vous lanciez votre recherche sur google.fr, google.com, google.com.br ou encore google.co.uk, les résultats seront les mêmes.
Google détermine en effet les résultats en fonction de la localisation de l’internaute, c’est-à-dire à partir de son adresse IP. L’internaute risque donc de se retrouver dans une sorte de « bulle de filtres » géolocalisée.
Quand on fait de la veille et des recherches d’information à l’international, cela représente un risque majeur : passer complètement à côté de résultats locaux (issus de la presse locale, de sites de collectivités locales, de blogs locaux, de sites d’entreprises locales, etc.) qui pourraient pourtant apporter des informations stratégiques.
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Fact Check Explorer : le nouveau moteur de recherche Google pour consulter uniquement les articles de fact-checking qui ont été publiés sur votre sujet.
Entrez votre requête et découvrez une liste de résultats préalablement tagués avec le nom de l’émetteur de l’information, le thème, la région du monde et enfin la source de fact-checking qui a répondu à cette affirmation.
Bien que vous n'ayez pas accès à la liste de tags complète, vous pouvez poursuivre votre navigation en cliquant sur les fameux tags. Aussi, dès l’affichage de cette liste de résultats, le verdict donné à la fin de l’article de fact-checking est précisé : "vrai" "faux " trompeur" "imprécis"... (ndlr : ce n’est pas systématique). Le corpus de sources interrogé par Google est constitué des grandes pages de fact-checking : CheckNews, Décodeurs, AFP Fact Check…, ce qui permet d'asseoir sa requête sur un sourcing préqualifié.
Source : Outilstice