Nous apprenions il y a quelques jours dans un communiqué de presse de l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) que les adresses internet avec une extension
.radio
allaient être mises sur le marché en 2017.
Cela va se faire selon plusieurs vagues successives.
Le but : fédérer la communauté des 65 000 radios hertziennes et des 60.000 webradios dans le monde. A noter qu'une radio devra débourser 200 euros pour acquérir cette extension.
En février et mars 2017, l’UER va sélectionner 80 radios dans le monde parmi celles ayant fait une demande et leur attribuer une extension .radio
. Ce n’est qu’en mai et juin que les autres radios pourront à leur tour postuler.
Ce document fait la liste des 100 articles issus de la presse scientifique qui ont suscité le plus d'attention et de discussion sur les sites d'actualités, Facebook, Twitter, blogs, etc.
Celui qui vient en tête est l'article de Barack Obama sur la réforme de la santé dans la publication médicale JAMA. Le suivant est un article qui fait apparaître que les erreurs médicales sont la troisième cause de mortalité aux Etats Unis. Le troisième, qui n'a rien à voir avec les deux précédents, relate la collision de deux trous noirs.
Les Américains sont les auteurs les plus représentés, ils sont 75, suivis par les Anglais avec 33 contributeurs.
Les sciences médicales représentent près de la moitié des sujets traités (49 sur 100), le virus Zika en faisant, bien sûr, partie.
Viennent ensuite la biologie, les sciences humaines, les sciences physiques et l'environnement.
Auteur : François Libmann, Directeur de publication
ICIC 2016 • Généralisation de la reconnaissance automatique des éléments chimiques dans les textes
SALON/CONFERENCE • ICIC 2016 : MethodsNow et sem-ip.com
MÉTHODOLOGIE • Comment identifier des infographies ?
SONDAGE
OUTILS DE VEILLE • Un comparateur d’outils de veille innovant en accès libre
A LIRE • Le nouveau livre de Véronique Mesguich : « Bibliotheques, le Web est à vous »
EN BREF • L’actualité du monde de l’information - février 2017
MÉDIAS SOCIAUX • Bonne nouvelle, LinkedIn réintroduit ses fonctionnalités de recherche avancée
Le producteur de Chemical Abstracts vante depuis longtemps la qualité de l’indexation manuelle qu’il réalise des composés chimiques présents dans les textes d’articles ou de brevets référencés dans la banque de données. Cette indexation manuelle est réalisée par des chimistes des pays d’origine des documents.
Avec Chemical Explorer et Textmine lancé par Minesoft (voir Bases n° 335, Mars 2016) sont apparus le repérage et l’indexation automatique des composés chimiques et l’analyse automatique du contenu des brevets selon certains critères.
Peu après, STN a lancé PatentPak (voir Bases n° 339, juillet-août 2016) qui, sur un nombre relativement limité de brevets, néanmoins en augmentation rapide, permet la localisation dans le texte du brevet de la citation d’une molécule précise.
Parmi les produits présentés par CAS à l'ICIC 20161 figurait un nouveau venu baptisé «MethodsNow» (www.methodsnow.com). Il est constitué en fait de deux produits, l’un consacré aux méthodes de réalisation de synthèses (MethodsNow-Synthesis) et le second aux méthodes analytiques (MethodsNow-Analytical).
La partie consacrée aux méthodes de synthèse est une extension de SciFinder, auquel il faut déjà avoir souscrit.
Le recours à des infographies pour présenter des données ou illustrer des articles, documents ou rapports s’est multiplié au cours des dernières années.
Rappelons qu’« une infographie est une présentation visuelle et ordonnée d’un sujet généralement complexe. Le but initial d’une infographie est de faire comprendre par l’image. L’infographie se présente souvent comme une longue affiche que l’on parcourt de bas en haut en faisant défiler l’écran » (source : www.definitions-marketing.com).
Le Portail de l’IE, « centre de ressources et d’information sur l’intelligence économique et stratégique » a mis en ligne mi-janvier un comparatif des logiciels de veille disponibles sur le marché français. Cette initiative est intéressante à plus d’un titre...
Créé par le Club Webtechno de l’AEGE (Anciens de l’Ecole de Guerre Economique) sous la houlette de Guillaume Sylvestre et Antoine Violet-Surcouf, ce comparatif se veut évolutif et collaboratif : les éditeurs mais aussi les spécialistes de la veille, sont encouragés à signaler de nouveaux outils ou des précisions sur ceux qui y figurent déjà. D’une quarantaine de solutions de veille au moment de la mise en ligne, le comparatif est passé à ce jour à plus d’une cinquantaine.
Comment ancrer les bibliothèques dans la modernité du web, une réalité mouvante, complexe à appréhender certes, mais source d’innovation et d’avenir ?
C’est cette question essentielle pour le futur des bibliothèques que traite avec beaucoup de profondeur et d’intelligence Véronique Mesguich dans son nouveau livre, dont le titre ouvre d’emblée le champ pour l’action : «Bibliothèques, le Web est à vous.»
EBSCO a récemment étendu son partenariat avec Claritive Analytics (qui a repris les activités scientifiques et propriété intellectuelles de Thomson Reuters) afin de proposer BIOSIS Previews et Zoological Record via EBSCOhost. Rappelons que BIOSIS Previews est l’une des plus importantes bases de données bibliographiques en sciences biologiques et que Zoological Record est l’une des plus anciennes bases bibliographiques dédiée à la biologie animale.
Le MeSH 2017 est maintenant disponible. Chaque année la National Library of Medecine (NLM) fait évoluer son célèbre thesaurus MeSH (Medical Subject Headings) avec ajout, suppression ou modification des termes. La banque de données accessible sur plusieurs serveurs va être entièrement rechargée avec cette version (sur Dialog-Proquest notamment).
La base de donnée LiSSa (www.lissa.fr) qui propose plus de 860 000 articles médicaux en français propose une nouvelle version. Parmi les nouveautés, le tri par pertinence, une compatibilité avec tout type d’écran et un nouveau formulaire de recherche avancée.
Quertle, le développeur de la première plateforme de découverte et d’analyse visuelle de données biomédicales basée sur un système d’intelligence artificielle collabore désormais avec Elsevier pour intégrer Science Direct au sein de son outil.
Depuis plusieurs mois, on ne comptait plus les actualités négatives sur les fonctionnalités de recherche de LinkedIn. Car si le réseau social est toujours leader sur le marché et propose des fonctionnalités toujours plus innovantes, l’aspect recherche ne semblait pas ou plus être une de ses priorités.
Il semble que LinkedIn ait décidé de faire machine arrière puisqu’il réintroduit des fonctionnalités de recherche même dans sa version gratuite.
Cela coïncide avec le lancement de sa nouvelle interface depuis le 20 janvier dernier. Tout le monde n’en dispose pas encore car le déploiement se fait progressivement dans tous les pays du monde.