● Nos données sont cruciales pour l’entraînement de l’IA et attirent les grandes plateformes.
● Le consentement est souvent imposé par défaut via des CGU complexes.
● Les lois comme le RGPD n’offrent qu’une protection limitée.
● Pour se protéger : lire les conditions, refuser quand possible, utiliser des alternatives respectueuses (Signal, Proton, DuckDuckGo, Qwant,...)
Il faut toujours lire les conditions générales, c’est bien connu.
Après Microsoft, Adobe, OpenAI et ByteDance, c’est désormais Anthropic, Meta et We Transfer qui alimentent les débats avec des pratiques controversées, qui s’appuient certes sur des besoins du développement des IA, mais qui révèlent surtout un déséquilibre fondamental entre utilisateurs et plateformes.
La course à l’intelligence artificielle a intensifié la collecte de données personnelles, transformant chaque interaction numérique en matière première pour l’entraînement des modèles.