LinkedIn est LE réseau social qui monte en puissance pour la veille et la recherche d’information. On y trouve de plus en plus de contenus pertinents qui pourront répondre à de multiples besoins informationnels : informations stratégiques, brevets, commerciales, concurrentielles, etc.
LinkedIn est donc un excellent réservoir d’informations, mais rien, absolument rien, n’est fait pour faciliter la vie du veilleur :
Devant un tel constat, faut-il vraiment essayer de rechercher et de faire de la veille sur LinkedIn ?
La réponse est un grand OUI en raison de la richesse du contenu proposé que l’on ne retrouve pas nécessairement sur d’autres plateformes. Mais il faut adapter ses pratiques de recherche et de veille pour obtenir un résultat satisfaisant.
Dans cet article, nous vous expliquons donc quelles sont les meilleures méthodes et outils pour rechercher de l’information et faire de la veille sur LinkedIn.
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Malgré l’existence d’outils de recherche scientifiques, professionnels, payants et performants comme STN, Proquest Dialog, Scopus ou encore Web of Science, on constate au quotidien que Google Scholar et quelques autres moteurs académiques gratuits sont, et restent, des piliers de la recherche d’articles scientifiques. Soit en complément des serveurs et bases de données professionnelles soit comme point d’accès unique à la littérature scientifique.
Les différents moteurs académiques qui composent le marché - dont Google Scholar - ont récemment évolué aussi bien en termes de fonctionnalités proposées que de positionnement pour répondre aux besoins des utilisateurs, mais aussi pour trouver des modèles économiques viables.
Quand on fait de la veille scientifique, technique ou innovation, il faut donc embrasser ces changements et évolutions et les inclure à ses pratiques de veille et de recherche d’information.
Mais ce n’est pas si simple...
Dans cet article, nous faisons donc le point sur tout ce tout ce qu’il y a aujourd’hui à connaître à propos des moteurs scientifiques et académiques quand on recherche de l’information ou quand on fait de la veille.
Précisons que nous nous intéressons exclusivement aux moteurs académiques au sens strict du terme et non aux outils de recommandations automatiques scientifiques, aux outils de recherche par réseaux de citations, etc. qui connaissent également des développements intéressants. Mais cela fera l’objet d’autres articles à venir.
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Tout le monde connaît Google Scholar pour rechercher dans la littérature académique (articles de revues scientifiques et académiques, thèses, preprints, comptes-rendus de conférences, etc.). On connaît moins les autres moteurs académiques qui composent le paysage et pourtant ils ont toute leur place dans la panoplie d’outils pour les chercheurs, les ingénieurs et les professionnels de l’information.
Dans cet article, nous avons choisi de tester un nouveau moteur académique : Elicit.
Comment vient-il se positionner dans l’univers des moteurs académiques et quelle est sa valeur ajoutée par rapport à des outils comme Google Scholar, Lens, Dimensions quand on a besoin de rechercher de l’information scientifique et technique ?
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Rechercher des experts est une problématique courante de la recherche d’information scientifique et technique.
Quand on dispose de bases de données et serveurs scientifiques payants tels que Scopus, Web of Science, STN ou encore Dialog Solutions, l’exercice présente relativement peu de difficultés. Ces outils ont en effet développé avec les années des fonctionnalités, notamment de datavisualisation, qui permettent l’identification d’experts en faisant ressortir les auteurs les plus prolifiques et les plus cités sur une thématique donnée. Certains ont également développé des outils de recherche d’experts ou ont racheté des outils dédiés existant sur le marché. De plus, ces outils ont l’avantage de proposer des langages de recherche sophistiqués qui permettent d’avoir une approche très fine et donc d’identifier les spécialistes de n’importe quel sujet, aussi précis soit-il.
Mais quand on ne dispose pas d’accès à ces outils payants et qu’il faut réussir à identifier des experts en n’utilisant que des outils gratuits, cela s’avère nettement plus chronophage et compliqué.
Dans cet article, nous explorons le nouveau moteur du CEA dédié à la recherche d’experts et nous revenons ensuite sur les autres solutions gratuites qui existent aujourd’hui sur le marché pour identifier des experts scientifiques.
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Comment trouver les meilleurs experts
La détection d’opportunités commerciales est une démarche vitale pour le développement de toute société. Elle passe par la maîtrise de la recherche des appels d’offres pertinents pour la société, sur lesquels elle peut se positionner en apportant son savoir-faire et expertise.
La recherche et la réponse à un appel d’offres passe par la connaissance fine d’un écosystème complexe : il faut savoir différencier et comprendre les différents types d’appels d’offres (publics/privés). Par ailleurs, la recherche elle-même requiert une méthodologie solide
Cette fiche pratique vous accompagnera dans cet exercice.
Vous retrouverez dans ces 2 pages synthétiques :
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Depuis plus de 35 ans, nous maintenons une indépendance totale vis-à-vis de tous les acteurs et outils que nous analysons dans nos colonnes, qu'il s'agisse de serveurs de bases de données, d'outils de recherche, de plateformes de veille, d'éditeurs de solutions, ainsi que de tout fournisseur de contenus.
Nous n'incluons jamais de publi-reportage et tous nos contenus sont exclusifs.
Découvrez Bookmarkify, une extension gratuite qui permet de surligner les passages clés d’une page web et ainsi créer des signets à l’intérieur de cette même page. Les signets enregistrés ne disparaitront pas et vous pourrez retrouver les éléments en un clic même après que la page ait été fermée.
Pour aller plus loin, cette extension est à compléter avec d’autres outils gratuits qui permettent notamment l’insertion de notes et commentaires sur ces pages. On citera Liner, Outline, Beanote, Weava ou encore Hypothesis qui vous aideront à transformer une page web en environnement de travail structuré, optimisé et annoté.
Source : Outilstice
Votre sujet génère beaucoup de bruit ? Transformez Twitter en mini moteur Google Actualités pour y voir plus clair.
Dans l'espace de recherche avancé de Twitter, l'opérateur filter:news
, associé à vos mots-clés, vous permet d'atteindre directement des sites reconnus : grands médias, comptes influents, etc.
Exemple : filter:news "baby formula"
Une bonne façon de lutter contre l'infobésité !
Source : @OsintJobs
Les publications défensives sont nées à la toute fin des années 1950, c’est-à-dire avant l’apparition des banques de données brevets et même des banques de données tout court.
On les appelle aussi « defensive publications », « technical disclosures » ou encore « defensive disclosures » en anglais.
Il était alors beaucoup plus difficile qu’aujourd’hui de trouver de l’art antérieur (prior art en anglais) qui n’était disponible que sous forme papier.
Cette notion d’art antérieur fait référence aux informations et documents publiés antérieurement au dépôt d’un brevet, connus du public en général et qui peuvent affecter de près ou de loin la « brevetabilité » d’une invention.
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Comme chaque année, Google organise au mois de mai sa fameuse conférence annuelle appelée Google I/O (pour Input/Output). Deux jours de show à l’américaine avec des annonces de nouveautés de produits et de fonctionnalités.
Nous les avons analysées en détail pour voir comment cela allait faire évoluer la recherche d’information et la veille professionnelle.
Trois grands axes d’innovation ressortent cette année : l’un concernant la vidéo et notamment YouTube, un second l’image et un usage accentué de l’IA et le dernier la traduction appliquée à différents types de contenus.
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